Depuis le début de l'offensive française, seuls quelques clichés témoignent qu'une guerre est en cours au Mali. Sans cadavre ou presque, voici le récit en images d'un conflit que l'on ne montre pas...
Depuis le début de l'offensive française, seuls quelques clichés témoignent qu'une guerre est en cours au Mali. Sans cadavre ou presque, voici le récit en images d'un conflit que l'on ne montre pas...
Un soldat malien à Diabali, le 26 janvier 2013. (JOE PENNEY / REUTERS)Sur le sol, une notice technique appartenant à des islamistes, expliquant comment monter un viseur laser sur un fusil, à Diabali, le 23 janvier 2013. (JOE PENNEY / REUTERS)Des soldats maliens blessés au combat sont soignés à la clinique militaire de Kati, le 27 janvier 2013. (REUTERS)L'armée française sur la route de Diabali, le 24 janvier 2013. (ERIC FEFERBERG / AFP)Un soldat malien se tient devant un mur criblé de balles lors de la libération de Konna, le 26 janvier 2013. (ERIC GAILLARD / REUTERS)Des soldats maliens cherchent des munitions dans un pick-up incendié à Konna, le 26 janvier 2013. (FRED DUFOUR / AFP)Des hélicoptères Gazelle de l'armée française, de retour de Tombouctou, se posent sur une base militaire à Sévaré, le 28 janvier 2013. (FRED DUFOUR / AFP)Manjou Cisse, 13 ans, blessé lors de combats à Diabali, est soigné à l'hôpital de Ségou, le 24 janvier 2013. (MAXPPP)Des lance-roquettes appartenant probablement à des islamistes sont cachés dans une cour à Diabali, le 23 janvier 2013. (JOE PENNEY / REUTERS)Une femme salue des soldats français après la libération de Diabaly, le 24 janvier 2013. (ERIC GAILLARD / REUTERS)Un soldat français en position près de Diabali, le 22 janvier 2013. (ISSOUF SANOGO / AFP)Des Maliens observent un véhicule incendié appartenant à des islamistes, après le passage des troupes françaises à Diabali, le 24 janvier 2013. (ERIC GAILLARD / REUTERS)Des uniformes abandonnés dans Konna après sa libération, le 26 janvier 2013. (ERIC GAILLARD / REUTERS)Un soldat malien et son AK-47 à un poste de contrôle à Diabali, le 26 janvier 2013. (JOE PENNEY / REUTERS)
Contenu sensible
Une des rares photos de cadavre. Les restes carbonisés d'un rebelle islamiste gisent dans une maison de Konna, le 27 janvier 2013. (ERIC GAILLARD / REUTERS)
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