Cet article date de plus d'onze ans.

Les images de l'impressionnant cyclone qui a touché la côte Est de l'Inde

Article rédigé par Salomé Legrand
France Télévisions
Publié Mis à jour

Six personnes sont mortes. Le pire a été évité grâce à la plus vaste opération d'évacuation jamais mise en œuvre pour un cyclone. 

Le cyclone Phailin a touché la côte est de l'Inde, le 12 octobre 2013.  (NAVAL REASEARCH LABORATORY / AFP )
Des vents a plus de 200 km/h ont été enregistrés.  (AP / SIPA / AP)
Le cyclone Phailin, très proche d'une tempête super-cyclonique, la catégorie la plus élevée, s'annonçait comme le plus fort à balayer l'est du subcontinent indien depuis quatorze ans. (ADNAN ABIDI / REUTERS)
Le niveau de la mer s'est élevé de trois à quatre mètres sur les côtes. (BISWARANJAN ROUT / AP / SIPA)
Le cyclone, qui fait la taille de la France, a déferlé sur une bande côtière de 150 km pendant plusieurs heures. (  MAXPPP)
Les vents ont été accompagnés de pluies très violentes qui ont provoqué des inondations dans plusieurs villages des Etats très pauvres de l'Orissa et Andrah Pradesh, . ( ADNAN ABIDI / REUTERS)
Pour éviter la catastrophe de 1999 où un cyclone avait causé la mort de plus de 8 000 personnes, le gouvernement a déclaré l'état d'urgence et s'est préparé plusieurs jours à l'avance. (ASIT KUMAR / AFP)
Un millions de personnes ont été évacuées. "C'est probablement le plus grand mouvement d'évacuation de l'histoire de l'Inde", selon Pradipta Kumar Mohapatra, chef des opérations de secours dans l'Orissa. (BIKAS DAS / AP / SIPA)
Des centaines d'habitants terrifiés ont passé la nuit dans des abris, des écoles et des bâtiments publics. (ASIT KUMAR / AFP)
L'armée a été mobilisée pour organiser le déplacement et l'approvisionnement des personnes évacuées.  (MAXPPP)
Les dégâts, humains et matériels, ne seront véritablement évalués qu'en cours de journée, mais le directeur général de la météo indienne a indiqué que le cyclone avait été particulièrement violent sur une bande de 150 km le long des côtes. (AHMAD MASOOD / REUTERS)
Quelque 300 équipes de médecins de l'armée, d'ingénieurs, de sauveteurs ont été déployées dans les zones les plus à risq comme ici à Ahmedabad. (SAM PANTHAKY / AFP)
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