Tempête Aline : "Nous avons besoin de reconstruire avec une forte résilience pour nous préserver à l'avenir", estime Christian Estrosi, maire de Nice

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L'alerte rouge a été levée dans la matinée du vendredi 20 octobre dans les Alpes-Maritimes, après que le département a été frappé par la tempête Aline. Le maire de Nice, Christian Estrosi, est en direct de la vallée de la Tinée. Il réagit à ces intempéries dans le 12/13 info.
Tempête Aline : "Nous avons besoin de reconstruire avec une forte résilience pour nous préserver à l'avenir", estime Christian Estrosi, maire de Nice L'alerte rouge a été levée dans la matinée du vendredi 20 octobre dans les Alpes-Maritimes, après que le département a été frappé par la tempête Aline. Le maire de Nice, Christian Estrosi, est en direct de la vallée de la Tinée. Il réagit à ces intempéries dans le 12/13 info. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E.Tran Nguyen
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L'alerte rouge a été levée dans la matinée du vendredi 20 octobre dans les Alpes-Maritimes, après que le département a été frappé par la tempête Aline. Le maire de Nice, Christian Estrosi, est en direct de la vallée de la Tinée. Il réagit à ces intempéries dans le 12/13 info.

Trois ans après la tempête Alex, la tempête Aline a frappé le département des Alpes-Maritimes, où l'alerte rouge a été levée dans la matinée du vendredi 20 octobre. "Nous savons que désormais, avec le réchauffement climatique, les épisodes orageux méditerranéens, appelés aussi épisodes cévenols, se renouvelleront régulièrement dans ces périodes automnales. Nous avons besoin de reconstruire avec une forte résilience pour nous préserver à l'avenir", a estimé dans le 12/13 info le maire de Nice (Alpes-Maritimes), Christian Estrosi, en direct de la vallée de la Tinée.

Le "devoir" de l'État

Il n'y a aucune victime à déplorer. Des habitants ont été évacués par précaution. "Nous avons maintenant, avec l'expérience, des plans de prévention", a indiqué le maire de Nice. Christian Estrosi a insisté sur la nécessité de reconstruire "différemment", en appelant à l'aide du gouvernement. "Nous avons déjà investi 200 millions d'euros, sur lesquels nous n'avons touché que 20% à 30% d'aides de l'État. L'État doit comprendre qu'il a besoin - là où nous avons à la fois de l'inflation, des taux d'intérêt qui ne cessent de monter, les matières premières qui ont du mal à être acheminées - de monter à un niveau beaucoup plus élevé, c'est son devoir, pour nous accompagner dans tous les aménagements que nous faisons", a-t-il déclaré.

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