Le 1er de l'an, une journée ordinaire pour de nombreuses professions

À l'heure où certains récupèrent de leurs festivités du réveillon de la Saint-Sylvestre, d'autres, plus courageux, attaquent l'année comme ils l'ont terminé : au travail. "Pour moi, c'est un jour classique", confie un buraliste à France 3. Un choix pour ce buraliste, mais une obligation pour certains pharmaciens, désignés pour assurer un tour de garde. "On a fait une petite soirée tranquille à la maison avec les enfants et ma femme, et le réveil a été du coup beaucoup plus facile que les autres années", explique Olivier Serves, pharmacien.

Le service reprend 

Effacer les stigmates de la veille et reprendre du service. Dans ce restaurant, les employés ont fini tard hier et repris tôt ce matin. "Nous, on a attendu jusqu'à minuit et demi, histoire de boire un coup ensemble, et puis après, ce matin, on a réattaqué à neuf heures", raconte Guillaume Budan, chef cuisinier. Le 1er de l'an reste une date particulière dans cet établissement. "Il y a une certaine convivialité. Je suis contente de démarrer l'année avec mon équipe, c'est aussi la famille, on passe beaucoup de temps ensemble, et on ressent aussi ce même phénomène avec les clients puisqu'ils viennent souvent avec leur famille, leurs enfants, leurs grands-parents", explique Laetitia Chabran, restauratrice.