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Guerre entre le Hamas et Israël : l'intervention de Tsahal à Gaza "n'a pas de sens d'un point de vue strictement militaire", estime l'ancien officier Guillaume Ancel

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Invité du 12/13 info, mercredi 1er novembre, Guillaume Ancel, ancien officier, écrivain et auteur du blog "Ne pas subir", est revenu sur l'intervention militaire israélienne dans la bande de Gaza.
Guerre entre le Hamas et Israël : l'intervention de Tsahal à Gaza "n'a pas de sens d'un point de vue strictement militaire", estime l'ancien officier Guillaume Ancel Invité du 12/13 info, mercredi 1er novembre, Guillaume Ancel, ancien officier, écrivain et auteur du blog "Ne pas subir", est revenu sur l'intervention militaire israélienne dans la bande de Gaza. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - C.Gascard
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Invité du 12/13 info, mercredi 1er novembre, Guillaume Ancel, ancien officier, écrivain et auteur du blog "Ne pas subir", est revenu sur l'intervention militaire israélienne dans la bande de Gaza.

Pour l'ancien officier Guillaume Ancel, l'intervention militaire de l'armée israélienne à Gaza est une intervention "qui, d'un point de vue strictement militaire, n'a pas de sens". "On ne détruit pas la bande de Gaza parce qu'il y a le Hamas qui est installé", a estimé celui qui est également écrivain et auteur du blog "Ne pas subir", dans le 12/13 info, mercredi 1er novembre. "Le Hamas, c'est ce qu'on appelle d'un point de vue militaire une cible molle. On n'est pas dans la guerre du Yom Kippour, [avec un conflit] armée contre armée. En face, il n'y a pas de chars, il n'y a pas de bases militaires", a-t-il abondé.

"Une tension très forte, y compris à l'intérieur de Tsahal"

"Il y a une tension très forte, y compris à l'intérieur de TsahalJ'ai des sources israéliennes qui me disent : 'On a un débat sans fin autour de comment est-ce qu'on va expliquer qu'on a gagné la guerre en faisant une offensive terrestre sur la bande de Gaza ?'", a indiqué Guillaume Ancel. "L'objectif affiché par le gouvernement Nétanyahou, c'est : 'On va réduire les capacités militaires du Hamas.' Le problème, c'est qu'il n'y en a quasiment pas", a-t-il ajouté.

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