Mercredi 1er novembre, l’armée israélienne maintient la pression sur la bande de Gaza. À l’intentionnel, les relations se tendent après le bombardement du camp de réfugiés à Jabaliya.
Des Palestiniens cherchent des survivants dans les décombres.Ils portent secours à de nombreux blessés, au cœur d’un immense cratère causé par les frappes aériennes.L’attaque israélienne sur le camp deJabaliyaa fait des dizaines de victimes.L’hôpital voisin est débordé.SouhaibIdaïs, infirmier bénévole, estime que "c’est un véritable massacre".L’armée israélienne a reconnu être responsable de l’attaque, elle diffuse même des images de ses frappes.Tsahalassure avoir visé des responsables et des infrastructures militaires duHamas.
La pression internationale
À la suite de cette attaque israélienne, plusieurs centaines de Palestiniens se sont rassemblés en soutien aux habitants de la bande de Gaza.Le Qatar prévient que ce type de frappes compromet les efforts pour obtenir la libération des otages.La pression internationale s’accentue.La Bolivie a annoncé rompre ses relations diplomatiques avecTel-Aviv.Le Chili et la Colombie ont rappelé leurs ambassadeurs en Israël.
France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "Le JT 20h". À tout moment, vous pouvez vous désinscrire via le lien en bas de ces newsletters. Pour en savoir plus, consultez notre
politique de confidentialité.
Lancez la conversation
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.