Motion de censure contre Michel Barnier : le Premier ministre a jeté ses dernières forces

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Mercredi 4 décembre, à l'Assemblée nationale, les députés vont devoir se positionner sur les deux motions de censure déposées par la coalition de gauche et le parti d’extrême droite.
Barnier Mercredi 4 décembre, à l'Assemblée nationale, les députés vont devoir se positionner sur les deux motions de censure déposées par la coalition de gauche et le parti d’extrême droite. (France 2)
Article rédigé par France 2 - A. Peyrout, L. Latour, France 3 Languedoc-Roussillon
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Mercredi 4 décembre, à l'Assemblée nationale, les députés vont devoir se positionner sur les deux motions de censure déposées par la coalition de gauche et le parti d’extrême droite.

Michel Barnier a tenté, mardi 3 décembre sur France 2, de convaincre les Français, mais surtout les responsables des partis politiques de ne pas sanctionner son budget et son gouvernement. Deux motions de censure ont en effet été déposées contre son gouvernement, l'une par le Rassemblement national, l'autre par le Nouveau Front Populaire. Elles vont être étudiées, mercredi 4 décembre, à l'Assemblée nationale, par les députés. L'exécutif est sur un siège éjectable.

Une hausse d'impôts

Le Premier ministre a tenté d'inverser le cours des choses, en brandissant la menace de la hausse d'impôts. Un vote favorable à la censure provoquerait la chute du budget 2025, ce qui rendrait impossible l'indexation du barème des impôts sur l'inflation. S'il est renversé, le gouvernement aurait alors la durée de vie la plus courte de la Vème République.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

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