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"Il faut féminiser les directions des partis politiques", concède Stanislas Guerini (Renaissance)

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« Il faut féminiser les directions des partis politiques », concède Stanislas Guerini (Renaissance)
« Il faut féminiser les directions des partis politiques », concède Stanislas Guerini (Renaissance) « Il faut féminiser les directions des partis politiques », concède Stanislas Guerini (Renaissance) (France 2)
Article rédigé par France 2 - J. Wittenberg
France Télévisions

Stanislas Guerini, délégué général de Renaissance, est l’invité des « 4 Vérités » de France 2, vendredi 13 mai.

Le nouveau gouvernement devrait être annoncé dans les jours qui viennent. Une page se tourne. "Jean Castex a été un grand Premier ministre. Il était venu gérer le déconfinement, il a fait bien plus que cela. Il a profondément renforcé les liens de cette majorité avec les territoires, il a permis à notre pays de ressortir de cette crise avec le plus fort taux de croissance de l’Union européenne", confie Stanislas Guerini, délégué général de Renaissance, invité des "4 Vérités" de France 2, vendredi 13 mai.

Féminisation de la classe politique : "On doit tous faire cet effort-là"

Le rassemblement de la majorité présidentielle, Ensemble !, réunit à sa tête des personnalités masculines. "Il s’avère que ces personnalités sont les dirigeants des différentes formations de la majorité présidentielle. Il faut féminiser aussi les directions des partis politiques. Je n’ai pas l’impression que Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon, Olivier Faure, soient des personnalités féminines, c’est regrettable. On doit tous faire cet effort-là pour féminiser tous les postes de la République française", concède Stanislas Guerini.

Certaines circonscriptions n’ont pas été pourvues de candidats par la majorité présidentielle, comme celle du député Damien Abad, président sortant du groupe LR. "Je vous confirme que nous n’investirons pas de candidats dans cette circonscription-là. Damien Abad, a un moment ou LR faisait le choix de ne pas faire le choix entre l’extrême droite et Emmanuel Macron […], s’en est mis en retrait. C’est pour saluer cette posture de responsabilité", précise Stanislas Guerini.

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