Législatives 2024 : "La gauche est un bloc minoritaire, ils ne sont d'accord sur rien", estime Rachida Dati

Publié
Durée de la vidéo : 9 min
Législatives 2024 : "La gauche est un bloc minoritaire, ils ne sont d'accord sur rien", estime Rachida Dati
Législatives 2024 : "La gauche est un bloc minoritaire, ils ne sont d'accord sur rien", estime Rachida Dati Législatives 2024 : "La gauche est un bloc minoritaire, ils ne sont d'accord sur rien", estime Rachida Dati (France 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions
Jeudi 11 juillet, au lendemain de la publication d'une lettre aux Français, dans laquelle Emmanuel Macron a estimé que "personne ne l'a emporté" au second tour des législatives, Rachida Dati, ministre de la Culture, est l'invitée des "4 Vérités" sur France 2.

Rachida Dati, maire du 7e arrondissement de Paris et ministre de la Culture, réagit ce jeudi 11 juillet à la lettre d'Emmanuel Macron, publiée la veille dans la presse régionale. Dans ce courrier, le président avance qu'aucune force politique "ne l'a emporté" au second tour des élections législatives. Une position sur laquelle s'aligne Rachida Dati dans "Les 4 Vérités" de Télématin : "La gauche est à peine à 27%, c'est un bloc minoritaire en France, ça n'est pas homogène, ils ne sont d'accord sur rien", a-t-elle estimé à propos du score du Nouveau Front populaire, arrivé en tête du scrutin.

"Laurent Wauquiez n'a pas dit 'on ne veut pas de coalition'"

Au sujet de sa famille politique, Les Républicains, qui par la voix de Laurent Wauquiez ont balayé toute coalition en l'état avec le gouvernement, Rachida Dati nuance : "Il n'a pas dit 'on ne veut pas de coalition' (...), il a dit 'nous voulons un pacte législatif'". "Sur la participation au gouvernement, vous avez vu que certains sont en désaccord dans le groupe", ajoute la ministre. Les Républicains "sont responsables" face à "la responsabilité d'orienter les Français" contre "les extrêmes", assure encore l'édile parisienne, qui précise qu'ils "échangent, (...) se parlent".

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.