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Rentrée des Républicains : la question de la primaire divise

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Rentrée des Républicains : la question de la primaire divise
Rentrée des Républicains : la question de la primaire divise Rentrée des Républicains : la question de la primaire divise (FRANCE 3)
Article rédigé par France 3 - J. Neny, F. Badaire, A. Zouioueche, H. Siv An, O. Pergament
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Les Républicains ont fait leur rentrée en ordre dispersé, le week-end du 29 et 30 août, dans plusieurs régions françaises. Une question animait les débats : faut-il une primaire pour choisir le candidat de la droite à la prochaine élection présidentielle ?

À droite, la rentrée aiguise déjà les appétits. Pour leur rentrée à La Baule (Loire-Atlantique), samedi 29 août, le principal sujet de discorde des Républicains tient en un seul mot : primaire. La dernière fois, à droite, c’était en 2016, François Fillon l’avait emporté sur Alain Juppé après une primaire ouverte à tous. Plus de quatre millions d’électeurs s’étaient déplacés. 

Bruno Retailleau et Valérie Pécresse pour la primaire 

"On a tellement vécu de blessures et d’ailleurs les primaires ont laissé des traces, donc moi je ne serai pas favorable à ce qu’on y retourne", déclare Rachida Dati, la maire du 7e arrondissement parisien. La primaire ouverte n’a pas la cote à droite sauf pour Bruno Retailleau, qui envisage d’être candidat. "Je ne veux pas que cette élection se fasse dans l’obscurité de quelques-uns", affirme le président du groupe LR au sénat. Valérie Pécresse, la présidente de la région Île-de-France, soutient également cette idée. 

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