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En images "Médiocre", "arrogante", "dédaigneuse" : les attaques les plus violentes contre Najat Vallaud-Belkacem

Marie-Violette Bernard

France Télévisions

Publié le 14/05/2015 06:14 Mis à jour le 14/05/2015 09:57

Temps de lecture : 1 min

La ministre de l'Education nationale fait régulièrement l'objet d'attaques personnelles de la part de l'opposition et même, parfois, de membres de son propre parti. Retour sur ces remarques en images.

Najat Vallaud-Belkacem en prend une nouvelle fois pour son grade. Lors d'un meeting en Seine-Saint-Denis, lundi 11 mai, le président de l'UMP, Nicolas Sarkozy, a déclaré que "dans le combat effréné pour la médiocrité, Christiane Taubira est en passe d’être dépassée par [la ministre de l'Education nationale]".

Mais ce n'est pas la première fois que l'ancienne porte-parole du gouvernement est la cible d'attaques personnelles. Entre remarques sexistes et sous-entendus sur ses origines, francetv info revient en images sur les piques les plus violentes qui ont visé Najat Vallaud-Belkacem.

Invité de BFM TV le 1er septembre 2014, Jacques Séguéla a fustigé le parcours de l'ancienne porte-parole du gouvernement, la qualifiant "d'erreur de casting". ( MAXPPP4)

Alors que Najat Vallaud-Belkacem est annoncée à l'Education dans un gouvernement remanié, Christine Boutin l'attaque sur Twitter, le 26 août 2014. (JOEL SAGET / AFP)

Le député UMP Lionnel Luca a lui aussi comparé la ministre de l'Education nationale à Christiane Taubira, sur Twitter, le 10 octobre 2013. ( MAXPPP)

En plein débat sur la réforme du collège, François Fillon a tancé la ministre de l'Education dans une tribune parue sur le site du Figaro, le 6 mai 2015. (FRANÇOIS NAVARRO / CITIZENSIDE.COM / AFP) — En plein débat sur la réforme du collège, François Fillon a tancé la ministre de l'Education dans une tribune parue sur le site du Figaro, le 6 mai 2015. (FRANÇOIS NAVARRO / CITIZENSIDE.COM / AFP)

Les membres de la classe politique ne sont pas les seuls à s'en prendre à Najat Vallaud-Belkacem. Dans un entretien avec le journal Acteurs de l'économie, le 25 avril 2014, le philosophe Alain Finkielkraut a sous-entendu qu'elle devait son poste de porte-parole du gouvernement à ses origines. ( MAXPPP) — Les membres de la classe politique ne sont pas les seuls à s'en prendre à Najat Vallaud-Belkacem. Dans un entretien avec le journal Acteurs de l'économie, le 25 avril 2014, le philosophe Alain Finkielkraut a sous-entendu qu'elle devait son poste de porte-parole du gouvernement à ses origines. ( MAXPPP)

Le député UMP des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, s'est inquiété de la nomination de Najat Vallaud-Belkacem au poste de ministre de l'Education nationale, lors d'une interview sur Sud Radio, le 28 août 2014. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP) — Le député UMP des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, s'est inquiété de la nomination de Najat Vallaud-Belkacem au poste de ministre de l'Education nationale, lors d'une interview sur Sud Radio, le 28 août 2014. (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)

Le vice-président du Front national, Florian Philippot, a violemment critiqué la ministre de l'Education lors d'un entretien au micro de Sud Radio, le 10 mai 2015. (JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP)

Ségolène Royal aurait expliqué la carrière fulgurante de Najat-Vallaud Belkacem par ses origines, selon un article du Point, paru le 26 juillet 2012. La ministre de l'Ecologie a toutefois démenti avoir tenu ces propos. (PASCAL POCHARD CASABIANCA / AFP) — Ségolène Royal aurait expliqué la carrière fulgurante de Najat-Vallaud Belkacem par ses origines, selon un article du Point, paru le 26 juillet 2012. La ministre de l'Ecologie a toutefois démenti avoir tenu ces propos. (PASCAL POCHARD CASABIANCA / AFP)

Nicolas Sarkozy, en meeting aux Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) le 11 mai 2015, a qualifié la ministre de l'Education nationale de "médiocre". Selon le secrétaire général du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, ces propos seraient "légèrement xénophobes". (FRANCOIS PAULETTO / CITIZENSIDE.COM / AFP) — Nicolas Sarkozy, en meeting aux Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) le 11 mai 2015, a qualifié la ministre de l'Education nationale de "médiocre". Selon le secrétaire général du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, ces propos seraient "légèrement xénophobes". (FRANCOIS PAULETTO / CITIZENSIDE.COM / AFP)

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