: Vidéo Le statut de Première dame divise les politiques
La question ressurgit après les allégations sur la vie privée de François Hollande.
Alors que François Hollande et Valérie Trierweiler sont dans la tourmente après les allégations sur la vie privée du président, la question du statut de Première dame refait surface. Celui-ci n'a rien d'officiel. Il existe "avec des règles et des usages non écrits", rappelle Slate. Et les politiques sont divisés sur une réforme.
"Il n'y a pas de Première dame en France", tranche, sur RTL, François Rebsamen, chef de file des sénateurs PS. Il souhaite supprimer les bureaux de la Première dame à l'Elysée et estime que cela "serait une avancée de la démocratie". Actuellement, à l'Elysée, Valérie Trierweiler dispose d'un cabinet composé de quatre personnes.
Le président de l'UMP, Jean-François Copé, n'est pas favorable à la mise en place d'un véritable statut. Selon lui, il faut simplement veiller à ce que "la vie privée n'interfère pas dans la vie publique". De son côté, Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, ne souhaite pas la création d'un statut officiel : elle tolère l'existence d'un secrétariat mais ne comprend pas l'utilité d'un site internet, dénonçant le site web de Valérie Trierweiler.
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