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Guerre entre le Hamas et Israël : la question des prisonniers palestiniens "a toujours fait partie des problématiques de négociation pour la paix", assure une journaliste de France 24

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La journaliste de France 24 Meriem Amellal était présente sur le plateau du 12/13 info, mercredi 22 novembre. Elle est notamment revenue sur les échanges entre des otages israéliens et des prisonniers palestiniens.
Guerre entre le Hamas et Israël : la question des prisonniers palestiniens "a toujours fait partie des problématiques de négociation pour la paix", assure une journaliste de France 24 La journaliste de France 24 Meriem Amellal était présente sur le plateau du 12/13 info, mercredi 22 novembre. Elle est notamment revenue sur les échanges entre des otages israéliens et des prisonniers palestiniens. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E. Tran Nguyen
France Télévisions
La journaliste de France 24 Meriem Amellal était présente sur le plateau du 12/13 info, mercredi 22 novembre. Elle est notamment revenue sur les échanges entre des otages israéliens et des prisonniers palestiniens.

Un accord a été trouvé pour libérer 50 otages israéliens, retenus par le Hamas à Gaza. En contrepartie, l’Etat hébreu s’engage à libérer des prisonniers, femme et enfants, détenus dans les geôles israéliennes. Présente sur le plateau du 12/13 info, la journaliste de France 24 Meriem Amellal indique : "Il y a toujours eu des prisonniers. Cette question a toujours fait partie des problématiques de négociation pour la paix. (…) Ça fait partie des questions épineuses dans le conflit."

1 700 Palestiniens seraient détenus

Selon des estimations, 1 700 Palestiniens seraient détenus en Israël, notamment des femmes et des enfants. Interrogée sur une accélération depuis le 7 octobre, la journaliste répond : "Forcément ! Après l’attaque du 7 octobre, Israël est entré en guerre, donc il y a forcément des tensions, des arrestations."Pour la plupart, ces prisonniers sont lourdement condamnés, sans remises de peine. "S’il y avait vraiment des pourparlers de paix, (…) je pense qu’il y aurait eu possibilité de discuter de la libération de ces prisonniers. C’est quand même dommage d’en arriver à un échange d'otages civils avec des prisonniers", estime Meriem Amellal, qui rappelle que "des personnages sont plus difficilement libérables". La journaliste assure que ces échanges entre otages et prisonniers vont "durer encore longtemps"

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