Guerre entre le Hamas et Israël : comment prendre en charge les ex-otages ?

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Vendredi 24 novembre, le Hamas a libéré les treize premiers otages israéliens, qui ont ensuite rejoint le pays hébreu. Alors que la guerre sévit encore, vient maintenant la question de la prise en charge des ex-otages.
Guerre entre le Hamas et Israël : comment prendre en charge les ex-otages ? Vendredi 24 novembre, le Hamas a libéré les treize premiers otages israéliens, qui ont ensuite rejoint le pays hébreu. Alors que la guerre sévit encore, vient maintenant la question de la prise en charge des ex-otages. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - A.-C. Poignard, A. Vahramian, M. Benoliel, I. Cavaletto
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Vendredi 24 novembre, le Hamas a libéré les treize premiers otages israéliens, qui ont ensuite rejoint le pays hébreu. Alors que la guerre sévit encore, vient maintenant la question de la prise en charge des ex-otages.

Au passage des ambulances qui ramenaient les otages en Israël, vendredi 24 novembre au soir, la joie de leur libération se faisait entendre. La délicate question de leur prise en charge se pose maintenant. Un militaire israélien a été dédié à chaque personne libérée. Les soldats chargés d'accueillir les enfants ont reçu un manuel. Ils doivent trouver les mots pour tenter de rassurer. Au terme d'un premier examen médical, les otages libérés ont été transférés vers les hôpitaux du pays. Ils y ont retrouvé leurs proches.

Des ex-otages désorientés

 

Que s'est-il passé pendant leurs sept semaines de captivité ? Dans une circulaire, le ministère israélien de la Santé précise qu'"en cas de suspicion d'abus sexuels ou de torture, le personnel devra en informer le médecin, afin d'engager une prise en charge adaptée". Au-delà du traumatisme, la perte de repères est également difficile à appréhender. La tante d'Eyal Nouri faisait partie du premier groupe d'otages libéré vendredi. Le ministère israélien de la santé décrit une femme désorientée, qui n'était "pas totalement au courant de tous les événements qui ont commencé le 7 octobre. (...) Elle ne savait pas que son mari avait été tué."

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