C’est une chanson qui nous ressemble. Les ambassadrices de la chanson française

Yvette Giraud, Jacqueline François, Line Renaud ou Mireille Mathieu ont consacré une bonne partie de leur carrière à donner des concerts et enregistrer des disques pour des publics étrangers en ambassadrices de la chanson de langue française.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 6 min
La comédienne et chanteuse française Line Renaud, en février 1974. (AFP)

En partenariat avec l’exposition C’est une chanson qui nous ressemble – Succès mondiaux des musiques populaires francophones à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts, ces chroniques reviennent en détail sur chacune des histoires qui y sont présentées. 

En 1958, la reprise de La Vie en rose d'Édith Piaf en japonais, par Line Renaud, a provoqué un engouement du public nippon, qui s'est ensuite tourné vers d'autres chansons de Line Renaud et d'Édith Piaf, ainsi que d'autres reprises de La Vie en rose, comme celle de Jacqueline François en 1950 ou, beaucoup plus tard, celle de Mireille Mathieu en 1985.

Comme Line Renaud, ces ambassadrices de la chanson francophone, par le disque et par la scène, ont mélangé leurs créations originales avec un répertoire volontiers classique, pour à la fois se faire un nom et propager la musique française au-delà des frontières...

Dans cet épisode de C’est une chanson qui nous ressemble, vous entendez des extraits de :

Line Renaud, Baro no inotchi, 1958

Jacqueline François, La Vie en rose, 1950

Yvette Giraud, La Vie en rose, 1965

Mireille Mathieu, La Vie en rose, 1985

Yvette Giraud, Mademoiselle Hortensia, 1946

Jacqueline François, Mademoiselle de Paris, 1959

Line Renaud, Mademoiselle From Armentières, 1952

Mireille Mathieu, Viens dans ma rue, 1967

Vous pouvez aussi prolonger cette chronique avec le livre C’est une chanson qui nous ressemble aux éditions du Patrimoine.

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