C’est une chanson qui nous ressemble. Marie Laforêt, des yeux, une voix
En partenariat avec l’exposition, C’est une chanson qui nous ressemble – Succès mondiaux des musiques populaires francophones, à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts, ces chroniques reviennent en détail sur chacune des histoires qui y sont présentées.
Marie Laforêt est une des artistes les plus passionnantes de cette époque, précisément parce qu'elle n'est pas une immense créatrice, autrice et compositrice comme Françoise Hardy, ni une interprète docile d'une variété standardisée, comme Sheila à la même époque. Son chemin est plus personnel, plus singulier. Cette sublime jeune femme mène de front une belle carrière d'actrice et un travail imposant dans les studios d'enregistrement. À partir de 1963, avec des chansons originales et des adaptations de succès anglais ou français, elle est une star de la chanson.
Mon amour, mon ami sort en 1967 sur le 45 tours numéro 13 de Marie Laforêt. Un 45 tours, quatre titres, ce format que l'on appelle EP et qui domine, encore pour quelque temps, le marché de masse de la musique enregistrée, c'est-à-dire les rayons des supermarchés et des milliers de disquaires que l'on trouve partout en France, y compris dans les plus petites villes.
Dans cet épisode de C’est une chanson qui nous ressemble, vous entendez des extraits de :
Marie Laforêt, Mon amour mon ami, 1967
Marie Laforêt, Manchester et Liverpool, 1966
Marie Laforêt, Ivan, Boris et moi, 1967
Marie Laforêt, Les Vendanges de l'amour, 1963
Marie Laforêt, Viens sur la montagne, 1964
Marie Laforêt, La Tendresse, 1964
Marie Laforêt, Marie-douceur, Marie-colère, 1966
Marie Laforêt, Mi amor mi amigo, 1967
Gönül Yazar, Çapkın kız, 1968
Yonca Evcimik, Çapkın kız, 2008
Marie Laforêt, Mon amour mon ami, 1967
Vous pouvez aussi prolonger cette chronique avec le livre C’est une chanson qui nous ressemble aux éditions du Patrimoine.
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