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"Couleur menthe à l'eau" d'Eddy Mitchell : la fille qui se croyait à Hollywood

Tout l'été, nous parlons chaque jour d’une grande chanson d’amour. Mercredi 12 juillet, la fascination d'un homme pour une mythomane sublime dans un bar.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 5 min
"Couleur menthe à l'eau" d'Eddy Mitchell (1980). (DR)

Attention, grand classique. On voit la fille, hautaine, sublime, dans un bar – un bar dont on ne sait s’il est en France ou aux États-Unis. Mais peu importe : cette fille est belle mais elle est ailleurs – ailleurs dans sa tête. Si on ne comprend pas à ce moment-là de la chanson, on comprendra plus tard. Et il n’y a guère de portrait aussi amoureux d’une mythomane que Couleur menthe à l’eau, écrit et interprété par Eddy Mitchell sur une musique de son complice fidèle, Pierre Papadiamandis. Du point de vue narratif, il y a une belle idée : on entend à la première personne du singulier un homme amoureux de cette fille dans le bar, et qui va voir à quel point elle, elle est amoureuse d’un autre homme.

Dans cet épisode de Ces chansons qui font l’été, vous entendez des extraits de :

Eddy Mitchell, Couleur menthe à l'eau, 1980

Howard Carpendale, Augen wie Asphalt, 1984

Isaac Delusion, Couleur menthe à l'eau, 2018

Yves Duteil, Couleur menthe à l'eau, 2023

Eddy Mitchell, Happy Birthday Rock'n'Roll, 1980

Eddy Mitchell, Rock'n'road, 1980

Eddy Mitchell, La Fille du motel, 1976

Eddy Mitchell, La Dernière séance, 1977

Eddy Mitchell, Rio Grande, 1993

Eddy Mitchell, Couleur menthe à l'eau, 1980


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Et vous pouvez aussi retrouver sur ce lien le podcast Derrière nos voix, avec les secrets d'écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.

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