Ces chansons qui font les fêtes. "Mon frère" de Maxime Le Forestier ou l'amour de la fratrie qui n'a jamais existé

Pendant ces vacances d'hiver, nous explorons l'amour – toutes les formes d'amour. Aujourd'hui, un grand classique célébrant un frère qui n'est jamais né, ce qui n'est pas une figure rare dans notre culture.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Le 45 tours original de "Mon frère" de Maxime Le Forestier en 1971, l'année précédent la parution de son légendaire premier album. (DR)

Voici une grosse madeleine de Proust. Non seulement, c’est le succès énorme qui lance la carrière de Maxime Le Forestier, en 45 tours au printemps 1971 puis en première chanson de la première face d’un album historique, à la rentrée 1972 – mais c’est aussi une rêverie pour des millions de francophones qui ont aussi regretté de n’avoir pas de petit frère.

Mais le thème de l’enfant qui voudrait bien ne pas être le plus jeune de la famille est assez classique en France.

Dans cet épisode de Ces chansons qui font les fêtes, vous entendez des extraits de :

Maxime Le Forestier, Mon frère, 1971

Agnès Capri, Nous voulons une petite sœur de Francis Poulenc (paroles de Jean Nohain), 1934 (enregistrement de 1939)

Madly Mesplé, Nous voulons une petite sœur de Francis Poulenc (paroles de Jean Nohain), 1934 (enregistrement de 1986)

Thomas Pitiot, P'tite sœur, 2005

Maxime Le Forestier, Mon frère, 1971

Eddy Mitchell, Si tu n'étais pas mon frère, 1965

Bourvil, Mon frère d'Angleterre, 1960

Bensé, Mon frère, 2008

Francis Cabrel, Le Fils unique, 2017

Maxime Le Forestier, Mon frère, 1971

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Et vous pouvez aussi retrouver sur ce lien le podcast Derrière nos voix, avec les secrets d'écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.

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