Ces chansons qui font les fêtes. "Définitivement" de Grand Corps Malade ou le vertige d'amour du futur père

Pendant ces vacances d'hiver, nous explorons l'amour – toutes les formes d'amour. Aujourd'hui, la singulière émotion des hommes qui attendent leur premier enfant.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
"Défintivement" de Grands Corps Malade, sur l'album "3e temps". (DR)

"Tu m’apprendras l’incertitude, tu m’apprendras les nuits blanches" : il est difficile de dire avec autant de simplicité l’amour inconditionnel pour l’enfant à venir. Et si cette chanson, écrite pendant la grossesse de sa compagne, s’intitule Définitivement, c’est que Grand Corps voit dans sa vie un changement pour toujours, uniquement parce qu’il va devenir père.

L’ivresse des pères quand la mère est enceinte n’est pas à proprement parler un lieu commun mais la chanson déploie un imposant corpus de textes au masculin qui développent une poésie volontiers maladroite et hésitante. Voici Renaud et Bertrand Betsch.

Dans cet épisode de Ces chansons qui font les fêtes, vous entendez des extraits de :

Grand Corps Malade, Définitivement, 2010

Renaud, En cloque, 1983

Bertrand Betsch, Ce ventre-là, 2007

Isabelle Boulay, En t'attendant, 2004

Elisa Tovati, Neuf mois, 2007

Renaud, Chanson pour Pierrot, 1979

Grand Corps Malade, Définitivement, 2010

Marka, La Berceuse de Kiki, 1995

Michel Bühler, Berceuse pour un enfant qui vient, 1971

Grand Corps Malade, Définitivement, 2010


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Et vous pouvez aussi retrouver sur ce lien le podcast Derrière nos voix, avec les secrets d'écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.

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