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Derrière nos voix. Carla Bruni chez les poètes anglais (et aussi français)

Tout l'été dans "Derrière nos voix", nous rencontrons huit artistes majeurs de la chanson française qui, chez eux, et leur instrument en main, nous dévoilent les secrets de leurs créations. Mardi 2 août, sa guitare en main, Carla Bruni se souvient des poètes qu'elle a adaptés.

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Carla Bruni, au Festival de Cannes, le 21 mai 2022. (PATRICE LAPOIRIE / MAXPPP)

Nous étions donc chez Carla Bruni, qui avait sa guitare en main. Nous parlions de chanson et aussi de poésie et elle nous a chanté Those Dancing Days Are Gone, l’adaptation qu’elle a faite d’un poème de William Butler Yeats.  Elle l’avait enregistrée en 2006, sur son deuxième album. À l’époque, elle n’avait pas connu les embarras vécus par Joni Mitchell quand elle avait voulu mettre en musique le poème Slouching Towards Bethleem de Yeats.

Dans cet épisode de Derrière nos voix, vous entendez des extraits de :

Carla Bruni nous chante Those Dancing Days Are Gone, 2022

Joni Mitchell, Slouching Towards Bethlehem, 1991

Carla Bruni, Before the World Was Made, 2006

Carla Bruni, Autumn, 2006

Carla Bruni nous chante I Will Always Love You, 2022

Carla Bruni, La Possibilité d'une île, 2008

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Souvenez-vous : pendant l'été 2019, La Playlist de Françoise Hardy a été une traversée du bagage musical d'une autrice, compositrice et interprète considérée comme l'arbitre des élégances de la pop en France.

En juillet et août 2017, nous avions passé Un été en Souchon, pendant lequel Alain Souchon nous a guidés dans une promenade savoureuse dans toute une vie d’amour de la chanson.

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