"Intervilles" : vachettes, tango et rap

Alors qu'on annonce le retour du célébrissime jeu télévisé pour l'été 2025, évoquons les paradoxes d'une légende sexagénaire.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 6 min
Guy Lux et Léon Zitrone, les deux présentateurs légendaires de l'émission Intervilles (ici en 1986 avec Simone Garnier). (CHIP HIRES / GAMMA-RAPHO / GETTY IMAGES)

Si vous vous souvenez spontanément des paroles de cette chanson, c’est sans doute que vous collectionnez les vieilles archives télé. C’est le premier générique de l’émission Intervilles, pendant l’été 1962 – le début d’une légende pour la télévision française, et même pour la société française. Il n’est qu’à voir l’émotion à l’annonce, cette semaine, de la nouvelle résurrection du célèbre jeu pour l’été 2025, présenté par Nagui – Nagui qui avait déjà présenté le jeu en 2004 et 2005.

Mais Intervilles garde un statut singulier parmi les grands jeux télévisés. Il y avait évidemment les personnalités de Guy Lux et Léon Zitrone, qui ont été longtemps aux manettes.   

Dans le premier épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :

Teddy Moore, De ville en ville (générique d'Intervilles), 1962

Guy Lux et Léon Zitrone, Le Tango d'Intervilles, 1964

Jean Ferrat, Mis à part, 1971

Citizen's, Shanana, 1985

McFly & Carlito, La Chanson des stars déchues, 2011

Seth Gueko, Materfuck, 2011

Disiz la Peste, Disizilla, 2018

Bounia en feat. chez Seth Gueko, Tremblement de ter-ter, 2009

Soprano en feat. chez Maître Gims, De Marseille à Paris, 2013

Gwendoline, Héros national, 2024

Teddy Moore, De ville en ville (générique d'Intervilles), 1962

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