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Adrien Bart vise une médaille à Paris, en canoë monoplace

Deuxième étape à Vaires-sur-Marne pour la préparation des champions de canoë kayak, en vue des Jeux de Paris 2024. Rencontre cette fois-ci avec Adrien Bart.
Article rédigé par Théo Curin, Fabrice Rigobert
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Le céiste Adrien Bart accueille Théo Curin sur la base nautique de Vaires-sur-Marne. (FABRICE RIGOBERT / FRANCEINFO)

Le vice-champion du monde de para-natation Théo Curin nous fait entrer dans les coulisses des JO de Paris 2024. Cette semaine encore, nous restons avec Théo à la base nautique de Vaires-sur-Marne à 40 kilomètres à l'est de Paris, où se dérouleront les épreuves de canoë kayak et d'aviron. C'est là qu'Adrien Bart, 31 ans, s'entraine pour essayer de décrocher la médaille d'Or aux Jeux de Paris.

"Pour bien comprendre, explique Adrien, il y a le canoë, où l'on pagaie d'un seul côté, et le kayak où l'on pagaie des deux côtés, et en canoë on trouve la catégorie C1 en monoplace et la catégorie C2 en biplace. Pour ma part, j'ai eu de très bon résultats en C1 en 2019 avec une médaille aux championnats du monde, et quatrième aux JO de Tokyo. Pour moi c'était une performance, même si je n'ai pas obtenu la médaille. J'envisage de monter sur le podium pour Paris 2024."

Adrien Bart présente son canoë à Théo Curin, sur l'un des pontons qui serviront aux épreuves olympiques, pour les Jeux de Paris 2024. (FABRICE RIGOBERT / FRANCEINFO)

Un athlète en pleine confiance

Adrien Bart ressent comme une chance de pouvoir s'entrainer sur le futur site olympique de Vaires. Il connait parfaitement toutes les situations météo qui peuvent se présenter. Le site reste en évolution, puisqu'il doit encore être amélioré avant les épreuves olympiques et préparé pour accueillir les futurs équipements nécessaires. Les repères sont donc un peu bousculés, mais l'athlète se sent en pleine confiance.

Après Rio et Tokyo, ce seront les troisièmes Jeux pour Adrien, qui a déjà vécu une grande effervescence au village olympique au Brésil et une situation très particulière au Japon en pleine crise de la Covid. "De toute façon, les Jeux, par essence, sont toujours particuliers, avec à chaque fois une ambiance différente. Et même si le bassin de Vaires-sur-Marne est à 40 km de Paris, ce n'est pas un frein. J'ai une grande confiance dans la mobilité des spectateurs." 

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