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Ce petit plaisir que s’est offert Tomer Sisley dans la nouvelle saison de "Balthazar" sur TF1

Avec cette série "Balthazar", le comédien Tomer Sisley réalise les plus belles audiences de TF1.

Article rédigé par Célyne Baÿt-Darcourt
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Tomer Sisley, comédien, dans la série "Balthasar" sur TF1. (SARA BOURG - RADIO FRANCE)

7,2 millions de téléspectateurs en 2020 ! Seule Capitaine Marleau a fait mieux dans la catégorie série cette année-là. Balthazar revient jeudi 10 mars sur TF1 pour une quatrième saison, alors que le tournage de la cinquième va démarrer la semaine prochaine.

Et ce ne sera pas la dernière, contrairement à ce qu’avait laissé entendre son héros Tomer Sisley : "Je parlais de la dernière en date ! J’ai tout de suite rectifié. On ne sait pas quand ça va s’arrêter. Evidemment qu’un jour, il y aura une fin et si possible avant que les gens se lassent. Mais pour l’instant, je n’ai pas du tout envie de lâcher Balthazar, je prends trop de plaisir à tourner ça !", confie le comédien.

Dans cette fiction, il incarne Raphaël Balthazar, un médecin légiste brillant et fantasque mais immature et torturé. Après le départ de sa partenaire interprétée par Hélène de Fougerolles, c’est Constance Labbé qui reprend le flambeau dans le rôle de la capitaine Coste. 

"Tout l’enjeu, c’était qu’on puisse se renouveler. Je ne voulais surtout pas que cette quatrième saison ressemble aux trois précédentes."

Tomer Sisley

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"Évidemment on garde le même personnage, le même ADN, ça reste une série policière. Mais on avait besoin d’une nouvelle dynamique, avec de nouveaux personnages pour créer des situations nouvelles. Constance Labbé est extraordinaire. C’est moi qui lui ai fait passer ses essais, comme à toutes les actrices finalistes. Elle sortait du lot, elle a le rythme de la comédie." commente Tomer Sisley.


Encore une fois, Tomer Sisley nous réserve des cascades époustouflantes, qu’il réalise lui-même, sans doublage. Comme cette séquence où il se retrouve à piloter un avion bi-plan d’où il doit sauter : "C’est une cascade qu’on voit dans L’As des as. Une des rares que Jean-Paul Belmondo n’a pas faite, il s’est fait doubler parce qu’il ne faisait pas de chute libre. Moi j’en fais. Alors je me suis fait ce petit plaisir. Mais je ne serai jamais plus fort que Belmondo !" conclut Tomer Sisley.

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