Assassin's Creed Revelations : plus belle la ville
Et
dans cette Constantinople de 1511, futur Istanbul, la bataille entre
templiers et assassins fait encore rage. Pour la troisième et dernière
fois, Assassin’s Creed Revelations vous propose de jouer Ezio,
membre de la confrérie des assassins, mauvais garçon, qui a désormais 50 ans
et la barbe perlée de blanc. Ezio Auditore qui veut avoir des réponses
sur sa communauté et ce duel historique avec les templiers. Nous aussi. Et pour arriver à ses fins, il va donc se rendre à Constantinople, la
véritable héroïne du jeu, superbe reconstitution d’une cité entre Orient
et Occident.
Constantinople
où le vieil Ezio va escalader la tour de Galata, grimper le palais de
Topkapı ou parcourir les dédales du grand bazar. Un Ezio tout autant
capitaine de jeunes d’assassins, qu’entrepreneur ultralibéral lorsqu’il
s’agit de développer l’économie de la cité. Assassin’s Creed Revelations,
c’est tout cela : aventure, action, histoire, un très bon jeu qui n’est
pas sans défaut, notamment des combats bien trop lourd à l’image de son
héros vieillissant dans un scénario un poil désincarné. Le multijoueur,
lui, est une petite merveille. Assassin’s Creed Revelations qui envoute
toujours en donnant, au passage, le goût du voyage.
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