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L'auto. Le japonais Suzuki préfère l'hybride au diesel

Les moteurs hybrides, c’est bien, mais c’est cher...Sauf chez le japonais Suzuki

Article rédigé par franceinfo, Denis Astagneau
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
La Swift du japonais Suzuki 4e génération, arrive cet été en Europe. (CHITOSE SUZUKI/AP/SIPA / AP)

Il y a l’hybride classique, comme sur la Prius avec un moteur électrique et un moteur thermique et puis il y a l’hybride doux sur la Suzuki Swift, avec juste une batterie supplémentaire, Une deuxième batterie, non pas de 12 mais de 24 volts. Résultat : on ne roule jamais en tout électrique, mais les watts aident le moteur thermique et lui font économiser de l’essence. Et ça fonctionne très bien...

Une voiture vivante mais pas de boite automatique

La Swift hybride est une voiture vraiment vivante qui enroule les virages avec allégresse et permet de rester en troisième aussi bien sur une route de montagne que dans une traversée de village. Du coup, l’inconvénient de manier une boite mécanique disparait quelque peu. Car, c’est paradoxal, ce système surtout conçu pour économiser de l’essence en ville, 1 litre au 100, ne fonctionne pas avec une boite automatique. Messieurs les ingénieurs japonais, c’est une lacune à combler d’urgence.

Ce qui fait l’agilité de la Swift, avec ou sans hybridation, c’est sa légèreté

Elle pèse 120 kg de moins que sa devancière. Elle est aussi un poil plus courte et plus basse et 4cm plus large. D’où cette tenue de route remarquable et une habitabilité aisée pour 4 personnes. Aisée mais pas confortable. Les amortisseurs accusent le coup. Sur mauvaise route, ils percutent. Et puis, le hic, c’est la finition. Des plastiques durs et brillants comme on en trouvait sur les voitures des années 80. Ça jure avec la silhouette avec les ailes marquées, plutôt réussie.

D’accord, la Swift reste à un prix raisonnable : 17.000 € pour l’hybride 3 cylindres, mais sans bonus particulier. Ou pour la boite auto, c’est au choix.

Ventes aux enchères à Avignon

Encore un mot. Les ventes aux enchères, ce n’est pas seulement à Paris chez Artcurial. A Avignon, aujourd’hui, le commissaire-priseur Leclère propose quelques belles anciennes. Mais pas à des prix de supermarché.
 

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