Le brief politique. Plusieurs centaines de parrainages sont déjà sur le bureau du Conseil constitutionnel

Les candidats ont jusqu'au 17 mars pour envoyer les 500 signatures nécessaires mais le Conseil constitutionnel a déjà reçu plusieurs centaines de parrainages et en attend au moins autant par courrier ce matin. Son président, Laurent Fabius, donnera les noms et les premiers chiffres en fin d'après-midi.

Plusieurs centaines de parrainages sont déjà arrivées au Conseil constitutionnel pic.twitter.com/fhAVDcHtRP

— franceinfo (@franceinfo) 1 mars 2017

Parmi ceux qui pourraient ne pas obtenir les signatures nécessaires, Philippe Poutou. Pour autant, le candidat du NPA semble bénéficier d'un élan de sympathie pour pouvoir les obtenir depuis la diffusion de l'émission On n'est pas couché à laquelle il participait samedi dernier et le fou rire de invités et des journalistes autour d'une question sur les licenciements. Olivier Besançenot essaye de profiter de cet élan. Il était en réunion publique mardi dans un bar de Belleveille à Paris : "On a un espoir, s'est enthousiasmé Olivier Besancenot. Depuis une petite semaine, il y a un mouvement de sympathie qui est en train de voir le jour, je crois. Il y a eu cette émission de télé, avec cette espèce de clash social qui a fait réagir des gens... Du coup, si vous connaissez des maires, n'hésitez-pas !"

La note du brief

18/20, soit une très bonne note en sang-froid pour le chef de l'Etat, qui a gardé son calme et une apparente sérénité lorsqu'un qu'un coup de feu accidentel a été tiré par un gendarme lors de l'inauguration des infrastructures de la ligne à grande vitesse entre Tours et Bordeaux près d'Angoulème.