Paris 2024 : "On est dans les temps", affirme le directeur des cérémonies des JO Thierry Reboul

Le grand témoin Jérôme Chapuis Du lundi au dimanche à 7h40
Combien d'artistes ? La vasque sera-t-elle visible ? À quoi s'attendre ? Thierry Reboul donne quelques précisions sans trahir le secret. "Garder de la magie, c'est essentiel".
Article rédigé par Jean-Rémi Baudot
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Thierry Reboul, le directeur des cérémonies du comité d'organisation des JO, grand témoin de franceinfo le 26 janvier 2024. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)

Alors que les Jeux olympiques de Paris 2024 débuteront dans six mois, "on est dans les temps", affirme le directeur des cérémonies du comité d'organisation des JO, Thierry Reboul, grand témoin de franceinfo vendredi 26 janvier. "On est à fond notamment sur cette cérémonie d'ouverture sur la Seine" se réjouit-il, mais souhaite préserver "plein de surprises," pour que les spectateurs soient "émerveillés ce jour-là". "Gardez de la magie, c’est essentiel », sourit-il.

à lire aussi REPORTAGE. Paris 2024 : "Que chacun se sente représenté ce soir-là" : on a suivi Thomas Jolly, le metteur en scène de la cérémonie d'ouverture des JO, en répérages le long de la Seine

La cérémonie se déroulera entre le pont d'Austerlitz et celui d'Iéna, à Paris, avec un final au Trocadéro. Six kilomètres le long de la Seine : "On a un terrain de jeu immense, qu'on va exploiter de A à Z". Thierry Reboul évoque ce défi que constitue cette cérémonie à ciel ouvert : "On construit un stade de 12kilomètres, deux fois six, avec 100 000 places assises sur les quais bas et quelques centaines de milliers sur les quais hauts, et on construit aussi un spectacle hors normes dans lequel nos 2 096  délégations paraderont".

Il affirme vouloir "casser les codes de ce qu'était une cérémonie d'ouverture" et confesse que certaines idées n'étaient pas réalisables, mais "le boulot, c'est d'en réaliser un maximum, on adapte et on essaye". Quant aux répétitions, "c'est une énorme prise de tête", confesse le directeur des cérémonies, mais "ce qu'on ne pourra pas ‘faire cachés’, on le fera au grand jour". Comme habituellement dans ce genre d'évènements, plusieurs "plans B" sont prévus, "on travaille sur des contingences, qui consistent à prévoir un maximum de choses", explique-t-il.

les mots-clés associés à cet article

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.