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Nue sur Facebook pour montrer les ravages du cancer

Une journée sur les réseaux sociaux, en compagnie de Pierre Chausse, journaliste. Au menu ce jeudi : une Australienne nue pour la bonne cause, Twitter se moque de Gad Elmaleh et Facebook n'est plus seulement réservé aux hommes et aux femmes.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 25 min
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Beth Whaanga. Ce nom ne vous dit très probablement rien. Cette Australienne s'est fait connaître cette semaine en publiant sur son profil Facebook des photos d'elle, nue, pour montrer son corps meurtri par les cicatrices liées au traitement d'un cancer du sein, diagnostiqué il y a un an et dont elle s'est réchappée.

À travers la publication de cet album, intitulé Under the red dress ("Sous la robe rouge" en français), son objectif est de "sensibiliser", de montrer les conséquences physiques de la maladie. "Chaque jour, nous croisons des gens qui semblent normaux, mais parfois, en dessous de leurs vêtements, leurs corps racontent une autre histoire" explique-t-elle.

C'est donc cette histoire, qu'elle a voulu partager sur le réseaux social. Sur les clichés, en noir et blanc, on voit la jeune femme, vêtue d'une simple culotte couleur chair, marquée par une année de traitement, une double mastectomie, une ablation de l'utérus, une importante perte de poids, etc.

Des images fortes largement partagées mais une initiative qui n'a pas plu à tout le monde. Si Beth a pu compter sur plusieurs milliers de soutiens, elle a également perdu une centaine de contacts par ailleurs. Preuve que, sur Facebook, vos amis n'en sont pas toujours. 

Twitter n'est pas tendre avec Gad Elmaleh

Le dernier (faux) sketch de Gad Elmaleh pour LCL a fait réagir sur Twitter.

Si, dans ce spot, les rires sont faux, sur le site de microblogging, les moqueries sont bien réelles... et plutôt acerbes.

Facebook n'est plus réservés aux hommes et aux femmes

L'annonce est récente... Les utilisateurs anglo-saxons du site de Marck Zuckerberg pourront désormais se signaler comme "transexuel" ou "intersexuel" et non plus seulement comme "homme" ou "femme".

Un changement "important", surtout "pour ceux qui ont souffert" estime Facebook qui précise que cette possibilité devrait être ouverte à d'autres régions du monde prochainement.

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