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Après la mort de Nahel, plusieurs nuits de violences urbaines et d'émeutes en Outre-mer

Comme de nombreuses villes dans l'Hexagone, plusieurs communes des Outre-mer ont connu plusieurs nuits de tensions, notamment celle de jeudi à vendredi, liée au décès du jeune Nahel à Nanterre.
Article rédigé par franceinfo - Thierry Belmont
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 5 min
Des violences ont éclaté dans la nuit de jeudi 29 juin dans plusieurs villes de La Réunion, notamment dans la commune du Port. (Illustration) (REUNION LA 1ERE / IMAZ PRESSE)

Des tensions ont éclaté Outre-mer, dans la nuit de jeudi à vendredi dernier, en réaction à la mort de Nahel, ce mineur de 17 ans, tué par un tir de policier lors d'un contrôle, à Nanterre.

En Guyane, des émeutes ont éclaté dans plusieurs quartiers de Cayenne. Un homme de 50 ans a été touché mortellement par une balle perdue. Un tir qui était, selon le procureur, en direction des forces de l’ordre. Une enquête est actuellement en cours.
Des violences aussi en Martinique, des groupes de personnes ont incendié des poubelles à Schoelcher, créant ainsi des barricades.
À la Réunion, c’est dans la commune du Port que les forces de l’ordre sont intervenues le plus souvent. La Maison de la justice et du citoyen a été incendiée, une pharmacie vandalisée. Le préfet de la Réunion appelle au calme et à l'apaisement.

Le paludisme fait son retour en Guyane

Un foyer épidémique a été récemment détecté. Ce n’était plus arrivé depuis 2015. La situation est prise très au sérieux par les autorités. Guyane la 1ere, Véronique Nizon. 

Le volcan du Piton de La Fournaise en éruption : un test d'évacuation

Des coulées de lave se dirigent tout droit vers la commune de Sainte-Rose, dans l’est, cela s’est passé mardi matin, à l’île de la Réunion, et ce n’était, fort heureusement, qu’un exercice grandeur nature, exercice destiné à tester tous les dispositifs d’évacuation, car ces "grosses colères" du volcan sont susceptibles, un jour, de se reproduire. Reportage, Réunion la 1ere, Suzette Emma. 

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Il a été baptisé "Atanua", et il est le 11e appareil, flambant neuf, de la compagnie domestique Air Tahiti, une compagnie qui a retrouvé toutes ses couleurs, après l’épisode du Covid ; à la grande joie, et aussi un peu, il faut bien le dire, au grand étonnement, de son PDG, Manaté Vivish. Réaction au micro de nos confrères de Polynésie la 1ere.

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