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"Chocolat" : un inévitable durant les fêtes de Pâques

En ce weekend de Pâques, comment ne pas parler de chocolat : on peut choisir ses crus et sa forme de consommation.
Article rédigé par Bernard Thomasson, Thierry Marx
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Au-delà des œufs de Pâques, on s'offre aussi durant ce week-end des chocolats haut de gamme (ici fabriqués par La Chocolaterie, à Landerneau en Bretagne, à partir de fèves de cacao du Brésil). (NICOLAS OLIVIER / FRANCE-BLEU BREIZH IZEL)

"Chocolat " est Le mot à la bouche cette semaine, parce qu'évidemment c'est un produit festif associé au weekend de Pâques. En réalité, il y a été associé de manière artificielle, par souci commercial car, jadis en France, on s'offrait des vrais œufs pour marquer la fin du Carême. 

"C'est une belle opportunité pour nos artisans chocolatiers. Ils sont très nombreux à travers tout le pays et peuvent ainsi s'exprimer, tout comme à Noël, durant les fêtes de Pâques et démontrer leur talent. C'est une période économique très importante pour eux puisqu'ils réalisent là une partie de leur chiffre d'affaire annuel."

Thierry Marx

à franceinfo

Des crus qui marquent leur différence

Comme pour le vin, il y a maintenant des crus pour le chocolat. Comment bien choisir ? Existe-t-il de vraies différences entre ceux qui proviennent d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique du Sud ? "Oui ! affirme Thierry Marx. Prenez un chocolat du Vietnam, il propose un acidulé que vous n'aurez pas dans la torréfaction d'un chocolat de Tanzanie !"

La puissance en cacao compte aussi beaucoup, de 60% à 90% et plus on choisit un chocolat de qualité, avec une puissance élevée, moins on en consomme, car la satiété arrive beaucoup plus vite. Sans oublier que ce produit est bon pour le moral, qu'on le déguste en tablette, en moulage de Pâques ou en boisson chaude. 

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