Cet article date de plus de sept ans.

Nouveau monde. Vivatech, le salon qui veut faire aimer la high-tech française

Le salon Vivatech a ouvert ses portes ce jeudi. Pour la deuxième année consécutive, Paris se met à l’heure des technologies numériques.

Article rédigé par franceinfo, Jérôme Colombain
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Le robot Pepper vous accueille à Vivatech. (RADIO FRANCE - JEROME COLOMBAIN)

Pour la deuxième année consécutive, Paris se met à l’heure des technologies numériques avec le salon Vivatech qui ouvre ses portes, jeudi 15 juin.

Valoriser l'écosystème français

Organisé par Publicis avec un coquet budget de 15 millions d’euros, Vivatech fête sa deuxième année. Objectif : braquer les projecteurs sur l’innovation technologique à la française et mettre en valeur l’écosystème technologique national extrêmement actif en ce moment. Les organisateurs annoncent la présence de 5 000 start-up, dont la moitié sont tricolores. Celles-ci sont souvent adossées à des grands groupes (La Poste, Engie, Orange, BNP Paribas, etc.). Quelques licornes (start-up valorisées plus d’un milliard de dollars) sont également présentes, comme la vedette nationale Blabla Car. Enfin, des "speakers" perstigieux sont attendus, à l’instar d’Eric Schmidt, patron d’Alphabet (Google) ou le CEO de Cisco.

Maurice Lévy, PDG de Publicis et créateur de Vivatech, arpente les allées du salon. (RADIO FRANCE / JEROME COLOMBAIN)

Peu de nouveautés

Pour autant, pas de véritables nouveautés technologiques ni d’annonces d’ampleur internationale à Vivatech. Nous ne sommes pas au CES de Las Vegas, à l’IFA de Berlin ou au MWC de Barcelone. L’intérêt est ailleurs. Le salon de la Porte de Versailles propose notamment des conférences sur les thèmes du moment, comme l’intelligence artificielle ou le transhumanisme. Enfin, l’intérêt de Vivatech est surtout de proposer une journée grand public (samedi 17) afin de permettre au plus grand nombre de venir découvrir les technologies à la mode, comme la réalité virtuelle, la voiture autonome, les drones ou les robots.

Sea Bubble, le bateau taxi qui devrait circuler sur le Seine à Paris dans quelques mois. (RADIO FRANCE / JEROME COLOMBAIN)

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.