Covid-19 : Malte rouvre ses frontières aux non-vaccinés mais leur impose une quarantaine
La fermeture des frontières aux non-vaccinés devait intervenir mercredi.
Ce qu'il faut savoir
La Valette rétropédale. Malte a renoncé, mardi 13 juillet, à fermer ses frontières aux personnes non vaccinées contre le Covid-19, à quelques heures de l'entrée en vigueur de cette mesure annoncée le 9 juillet, leur imposant en revanche une quarantaine de 14 jours. "Les personnes qui arrivent à Malte (...) sans être en possession d'un certificat de vaccination seront obligées de se soumettre à une période de quarantaine ", a annoncé le gouvernement de La Valette mardi soir. Ce direct est désormais terminé, merci de l'avoir suivi.
Les adolescents exemptés du pass sanitaire jusqu'au 30 août. Le ministre de la Santé a détaillé, mardi soir, les modalités d'utilisation du pass sanitaire, notamment pour les 12-17 ans, éligibles à la vaccination depuis le mois de juin. Il s'appliquera pour cette catégorie de la population à partir du 30 août, a précisé Olivier Véran. Même date butoir pour les salariés des établissements accueillant du public afin qu'il soient totalement vaccinés. Par ailleurs, le ministre a annoncé que seuls sept jours suffiraient désormais après la seconde dose pour être considéré comme totalement protégé en France.
Record d'injections aujourd'hui. Une journée record. Jean Castex a annoncé ce mardi que 792 339 injections avaient été réalisées au cours des dernières 24 heures. Dans le détail, 269 776 premières doses ont été administrées selon les services du Premier ministre, au lendemain des annonces d'Emmanuel Macron pour accélérer la campagne. Ces chiffres seront ensuite consolidés en y ajoutant les injections réalisées au-delà de 18 heures.
La vaccination obligatoire pour les soignants d'ici le 15 septembre. Emmanuel Macron a promis que des "contrôles seront opérés" et des "sanctions seront prises". Les soignants non vaccinés au 15 septembre "ne pourront plus travailler et ne seront plus payés", a ajouté le ministre de la Santé Olivier Véran sur LCI. Selon Elisabeth Borne, la ministre du Travail, ils risquent aussi une suspension, avant "une mise à pied" voire "un licenciement".