Cet article date de plus de sept ans.

Afrique: «zémidjan», «twegerane», «louage»... Sacrés transports en commun !

Sur le continent africain, face aux insuffisances de l'offre publique, les transports en commun se sont organisés de façon informelle pour se structurer a posteriori. Les noms de ces véhicules souvent vieillissants, qui ne passent jamais inaperçus surtout du fait des incartades de leurs chauffeurs, racontent souvent les vicissitudes de leurs usagers. Revue de détail.
Article rédigé par Falila Gbadamassi
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min

Ils ont en commun d'être souvent des véhicules de seconde main, bien souvent inconfortables pour le voyageur. En y prenant place, l'usager doit généralement dire adieu aux règles de sécurité les plus élémentaires et aux horaires. Car, pour ce qui est des taxis collectifs, ils ne prennent en principe la route que quand toutes les places sont occupées. Cependant depuis des décennies, les Africains s'en accomodent car le choix reste limité en matière de transport public. Depuis quelques années, les gouvernements ont pris conscience de la nécessité de moderniser l'offre publique et tentent de mettre fin à un secteur organisé mais toujours informel. En attendant, taxis communs et taxis-motos ont encore de beaux jours devant eux.     

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