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Il était mis en cause dans une affaire de trafic présumé de diplômes, selon le ministère de l'Enseignement supérieur

Accusé d'avoir entravé une enquête administrative sur ce trafic présumé, Laroussi Oueslati avait été suspendu en octobre. Deux vice-présidents, eux aussi mis en cause, ont fait l'objet de la même sanction.Une enquête judiciaire est en cours dans cette affaire qui aurait bénéficié à une centaine d'étudiants chinois.
Article rédigé par France2.fr
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Accusé d'avoir entravé une enquête administrative sur ce trafic présumé, Laroussi Oueslati avait été suspendu en octobre. Deux vice-présidents, eux aussi mis en cause, ont fait l'objet de la même sanction.

Une enquête judiciaire est en cours dans cette affaire qui aurait bénéficié à une centaine d'étudiants chinois.

Le ministère de l'Enseignement supérieur précise que l'administrateur provisoire, Philippe Tchamitchian, devra organiser l'élection d'un nouveau président "dès que les conditions de fonctionnement de l'université permettront que cette élection se déroule en toute régularité et sérénité".

"La situation de cette université, confrontée très récemment à des dysfonctionnements internes graves, comme l'a révélé le rapport d'inspection, ne permet pas l'organisation immédiate, dans un climat apaisé, de l'élection d'un successeur à M. Oueslati, qui fait l'objet d'une double procédure pénale et disciplinaire", ajoute le communiqué du ministère.

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