Le projet de loi visant à inscrire l'interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution sera présenté à l'Assemblée mercredi 24 janvier, une demande de longue date des associations féministes.
Ce texte, les associations le réclament depuis des années : graver l’accès à l’avortement dans le marbre de la Constitution. C’est finalement sous le terme de "liberté" et non de "droit" qu’il va être débattu à l’Assemblée nationale, mercredi 24 janvier.
l’Assemblée nationale, mercredi 24 janvier. Plus qu’un symbole
Pour beaucoup de féministes, cette entrée dans la Constitution est plus qu’un symbole, alors que le droit à l’IVG est menacé dans plusieurs pays, comme aux États-Unis. L’adoption du texte à l’Assemblée devrait être une formalité, mais le débat au Sénat pourrait être plus long et plus agité, plusieurs élus des Républicains ayant exprimé des réserves.
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