Procès des viols de Mazan : "il y a un avant et un après", estime Salima Saa, secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes

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Procès des viols de Mazan : “il y a un avant et un après”, estime Salima Saa, secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes
Procès des viols de Mazan : “il y a un avant et un après”, estime Salima Saa, secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes Procès des viols de Mazan : “il y a un avant et un après”, estime Salima Saa, secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes (franceinfo)
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Salima Saa, secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, était l'invitée du 11h/13h de franceinfo ce mercredi 20 novembre.

Après onze semaines d'audience, c'est l'heure du bilan pour le procès des viols de Mazan. "C'est un procès bouleversant, je suis impressionnée par le courage de Gisèle Pelicot (...) c'est le bouleversement d'une famille complète (...) il y a un avant Mazan et un après Mazan", estime Salima Saa, mercredi 20 novembre sur le plateau de franceinfo. La secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes se demande "comment on peut faire pour que cela ne se reproduise plus".

Inscrire le consentement dans la loi

La presse internationale est également présente pour documenter ce procès. "Gisèle Pelicot a permis de montrer au monde entier ce procès (...) Elle est là pour dire qu'il ne faut plus que ça recommence", estime l'invitée. "Nous devons travailler sur la culture du viol, sur l'éducation, sur l'apprentissage du consentement", défend-elle. La secrétaire d'État se dit favorable à l'inscription de la notion de consentement dans la loi. "Il faut que ce soit écrit explicitement, sans ambiguïté", affirme Salima Saa.

Retrouvez l'intégralité de l'interview dans la vidéo ci-dessus

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