Saint-Valentin : le slow n’a pas dit son dernier mot

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Saint-Valentin : le slow n’a pas dit son dernier mot
Article rédigé par France 2 - S. Guillaumin, M. Buisson, C. Arnold, F. Blevis, L. Klethy, P. Grandouiller, N. Lachaud
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Le slow n'est pas mort : preuve en est, des pétitions circulent pour rétablir le quart d'heure américain. À l'approche de la Saint Valentin, certains apprécient toujours cette danse romantique.

À Strasbourg (Bas-Rhin), tous les ans à l’approche de la Saint-Valentin, c’est "slow party" : deux heures de corps-à-corps, et une playlist irrésistible, entre Whitney Houston et Scorpions. "Il suffit de se laisser porter par la musique, par l’émotion, et se laisser aller", confie un amateur. Le slow est l’unique danse de couple qui ne demande aucune technique. 

L’incontournable des boums 

Arrivé en France à la fin des années 1950, il devient rapidement incontournable dans les bals et les surprise-party. Il s’invite ensuite dans toutes les fêtes, dans les campings, les boîtes de nuit et les boums.

En 1980, Vladimir Cosma compose le tube des émois adolescents, la musique du film La Boum. "Quand j’ai composé cette musique, je n’avais jamais composé un slow de ma vie (…) et j’ai composé le thème comme une belle mélodie d’une symphonie classique", explique ce dernier. Depuis la fin des années 1990, le slow a beaucoup moins la cote. Il reste heureusement la Saint-Valentin pour en profiter un peu.

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