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Vidéo Paris-Roubaix 2023 : "C'est la meilleure saison de classiques de ma carrière", se réjouit Mathieu van der Poel

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Vainqueur de Paris-Roubaix, Mathieu Van der Poel revient sur sa victoire. Le Néerlandais est fier du travail fait par son équipe et admet qu'il s'agit d'un des meilleurs moments de sa carrière. Après Milan - San Remo il y a quelques semaines, le cycliste accroche un nouveau monument cette saison.
Course homme - Mathieu Van der Poel : "un des meilleurs jour de ma carrière" Vainqueur de Paris-Roubaix, Mathieu Van der Poel revient sur sa victoire. Le Néerlandais est fier du travail fait par son équipe et admet qu'il s'agit d'un des meilleurs moments de sa carrière. Après Milan - San Remo il y a quelques semaines, le cycliste accroche un nouveau monument cette saison.
Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Le vainqueur de la 120e édition de Paris-Roubaix est revenu, au micro de France 3, sur son premier succès sur les pavés du Nord, dimanche.

"C’est un rêve, je crois que c’est l’édition la plus rapide de l’histoire." À l'arrivée au vélodrome de Roubaix, le gagnant de la 120e édition de l'Enfer du Nord, Mathieu van der Poel, s'est réjoui au micro de France Télévisions, conscient de réaliser "la meilleure saison de classique depuis le début de (s)a carrière."

Vainqueur de son deuxième Monument de l'année après Milan-San Remo mi-mars, l'élégant néerlandais a d'abord félicité son équipe Alpecin-Deceuninck et son coéquipier Jasper Philipsen, deuxième devant Wout van Aert. "On a vraiment travaillé en équipe aujourd’hui, c’est impossible de faire mieux, s'est félicité Mathieu van der Poel. Je me suis senti très fort et je suis heureux de terminer le travail de l’équipe (…) C’est vraiment extraordinaire de faire un et deux."

Paris-Roubaix, une histoire de "jambes et de chance"

Le leader d'Alpecin-Deceuninck, au coude à coude avec Wout van Aert à la sortie du Carrefour de l’Arbre après la chute de John Degenkolb, a reconnu avoir eu de la "chance", profitant par la suite d'une crevaison fatale à son meilleur ennemi belge : "A Paris-Roubaix, il faut des jambes et de la chance", a-t-il admis.

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