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Vidéo Tigresses rescapées de la guerre en Ukraine : leur parcours au refuge de l’Arche

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Il y a deux mois, Magnolia et Uvalisa, deux tigresses d’Ukraine ont été accueillies au Refuge de l’Arche pour leur offrir un meilleur cadre de vie. Mais que sont-elles devenues ? Brut s'est rendu au Refuge de l’Arche pour voir leur évolution.
VIDEO. Tigresses rescapées de la guerre en Ukraine : leur parcours au refuge de l’Arche Il y a deux mois, Magnolia et Uvalisa, deux tigresses d’Ukraine ont été accueillies au Refuge de l’Arche pour leur offrir un meilleur cadre de vie. Mais que sont-elles devenues ? Brut s'est rendu au Refuge de l’Arche pour voir leur évolution. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Il y a deux mois, Magnolia et Uvalisa, deux tigresses d’Ukraine ont été accueillies au Refuge de l’Arche pour leur offrir un meilleur cadre de vie. Mais que sont-elles devenues ? Brut s'est rendu au Refuge de l’Arche pour voir leur évolution.

Ces deux tigresses avaient été retrouvées dans la rue alors qu’elles servaient de modèles photographiques. Armelle Lagarde, directrice adjointe du Refuge de l'Arche, expliquait qu’il était important de sauver des animaux d’une guerre car ils subissent de lourds bombardements qui les traumatisent. D’autres sont laissés à l’abandon et certains se retrouvent dans des trafics puisqu’en période de guerre, les animaux représentent de l’argent. Après une longue procédure, elles avaient été accueillies par le Refuge de l’Arche, une structure française spécialisée dans le sauvetage d'animaux sauvages. 

“C’est vraiment très, très positif”

L’objectif pour Armelle Lagarde est de laisser un temps d’adaptation aux deux tigresses, avant qu’elles ne rencontrent l’autre tigre de l'établissement, Kaïro, un mâle de 5 ans. Le résultat attendu est double : “Alors, nous faisons ça pour le bien-être des animaux, pour qu'ils aient un espace plus grand mais aussi pour que notre mâle puisse être en contact avec des femelles. Sans autre partenaire, il reste trop en contact avec l'homme et l'objectif, c'est qu'il se désintéresse de nous.”, explique Armelle Lagarde. Après une prise de contact visuelle réussie, le refuge tente de les mettre dans le même enclos : “Ils se touchent, ils se sentent, ils jouent. On a vu des phases de jeu, donc c'est vraiment très, très positif.”.

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