Aveyron : en route pour un cours d’anglais avec Fearghal McLaughlin sur une ligne du train pas comme les autres

Publié le 11/11/2024 16:55

Temps de lecture : 1min - vidéo : 8min

Aveyron : en route pour un cours d’anglais avec Fearghal McLaughlin sur une ligne du train pas comme les autres Dans l’Aveyron, les équipes de France Télévisions sont allées à la rencontre d’un homme qui se démène pour sauver une ligne de train. Il est irlandais, il a complètement craqué pour cette ligne qui relie Béziers à Clermont-Ferrand, l’une des plus belles d’Europe. (France 2)

France 2 - V. Heurtel, O. Labalette, M. Dumas, F. Fontaine

France Télévisions

JT de 13h

Édition du lundi 11 novembre 2024

Dans l’Aveyron, les équipes de France Télévisions sont allées à la rencontre d’un homme qui se démène pour sauver une ligne de train. Il est irlandais, il a complètement craqué pour cette ligne qui relie Béziers à Clermont-Ferrand, l’une des plus belles d’Europe.

C’est l’histoire d’un Irlandais qui est tombé sous le charme de l’Aveyron. Fearghal McLaughlin est professeur d’anglais à Millau (Aveyron), ce matin-là, il a donné rendez-vous à ses élèves sur le quai de la gare. Il a eu un coup de foudre pour un petit train et il veut le faire découvrir : “J’essaye de défendre cette belle ligne qui est tristement abandonnée. On parle anglais dans le train”, explique-t-il. À bord de la ligne qui relie Béziers à Clermont-Ferrand, à peine parti, le paysage donne le ton. Un train qui fait office de bizarrerie avec ses pointes à 60 km/h. Vétuste, la ligne sur laquelle il voyage a failli être fermée.

Un peu d'anglais et beaucoup de belles rencontres

Après 40 minutes de voyage, le groupe descend à Campagnac dans l’Aveyron. Le cours d’anglais se poursuit dans une auberge tenue par la même famille depuis cinq générations. Pour quelques euros la journée, il est possible de parler un peu anglais et surtout de faire de belles rencontres. Chaque mois, Fearghal cherche une nouvelle destination sur la ligne pour surprendre ses élèves.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus