Cet article date de plus de deux ans.

Cinquième vague du Covid-19 : Bruno Le Maire n'a pas "d'inquiétude particulière pour la croissance française"

"Le pass sanitaire c'est votre assurance-vie", a toutefois rappelé le ministre de l'Économie aux restaurateurs.

Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances, le 24 novembre 2021 à franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)

La cinquième vague du Covid-19 "ne menace pas la reprise" de la croissance française, a assuré le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, mercredi 24 novembre sur franceinfo. "Je n'ai pas d'inquiétude particulière pour la croissance française", a-t-il poursuivi. "Elle est là, elle est solide et on a appris de vague en vague à mieux gérer les contraintes sanitaires", a ajouté Bruno Le Maire.

Il a toutefois reconnu que la cinquième vague "peut avoir un impact pour des restaurants, pour des bars, pour des hôtels, pour des indépendants", et que "pour cela" mais aussi "pour les personnels soignants qui sont épuisés", il faut "se protéger et faire en sorte que nous arrivions à vaincre définitivement l'épidémie".

"Ce n'est pas pour la croissance qu'il faut se faire vacciner et respecter les gestes barrières, c'est pour la société française dans son ensemble."

Bruno Le Maire, ministre de l'Économie

à franceinfo

"Je ne vois pas pour le moment des mesures supplémentaires à imposer à l'économie française", a déclaré Bruno Le Maire, précisant toutefois que "les décisions se prennent en Conseil de défense sanitaire". "Ce qui fait les décisions collectives, c'est aussi le comportement individuel", a-t-il déclaré, tout en appelant à "la responsabilité de chacun" vis-à-vis de la dose de rappel et du "respect des gestes barrières". Il a également appelé les restaurateurs et chefs d'établissements recevant du public à "faire en sorte que le pass sanitaire soit appliqué rigoureusement". "Le pass sanitaire c'est votre assurance-vie", leur a-t-il répété.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.