Doliprane : le président de Sanofi répond au gouvernement

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Finances publiques : “ Il y a eu insincérité ou cécité”, dénonce Éric Coquerel, président de la commission des Finances à l’Assemblée
Finances publiques : “ Il y a eu insincérité ou cécité”, dénonce Éric Coquerel, président de la commission des Finances à l’Assemblée Finances publiques : “ Il y a eu insincérité ou cécité”, dénonce Éric Coquerel, président de la commission des Finances à l’Assemblée (France 2)
Article rédigé par France 2 - F. Boutet
France Télévisions
France 2
Le gouvernement demande un bilan exhaustif des aides publiques que le groupe pharmaceutique Sanofi a reçues depuis maintenant une décennie. Les salariés restent inquiets, même si mercredi 16 octobre, le président du groupe pharmaceutique se veut rassurant.

L'inquiétude ne retombe pas. Mardi 15 octobre, à Compiègne (Oise), devant le site Sanofi qui produit le Doliprane, c’était le sentiment qui dominait chez les salariés et les syndicalistes. “C’est quand même une petite trahison de notre direction”, lâche un travailleur. “On les connaît, les Américains, ils souhaitent vraiment essentialiser la production sur leur sol”, assure Adrien Mekhnache, délégué syndical central adjoint CFDT Opella Doliprane.

Une cession très polémique


“Le risque, c’est qu’ils souhaitent se séparer de produits qu’ils n’estiment pas très rentables, à l’instar du Doliprane”, poursuit-il. À la une des Échos, mercredi 16 octobre, Frédéric Oudéa répond. Le président de Sanofi veut rassurer sur cette cession très polémique à un groupe américain.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.