Plans sociaux : l'État décline toute responsabilité
Après l'annonce de la suppression de 1 050 postes sur le site General Electric de Belfort (Territoire de Belfort), la question de l'implication de l'État se pose.
Que compte faire l'exécutif ? Après l'annonce de la suppression de 1 050 emplois sur le site General Electric de Belfort (Territoire de Belfort), l'État ne compte pas nationaliser l'entreprise. "En revanche, le président sera très vigilant pour que les salariés soient reclassés. Il devrait faire pression sur General Electric pour qu'il respecte ses engagements, sinon il y aura des pénalités", précise la journaliste Valérie Astruc depuis le palais de l'Élysée à Paris.
L'exécutif assure que l'industrie se porte bien
Malgré la vague de mauvaises nouvelles qui touche l'industrie, l'exécutif assure que le secteur français se porte bien et qu'il a créé plus d'emplois qu'il n'en a détruits en deux ans. "Face à ceux qui accusent Emmanuel Macron d'avoir retardé ces plans sociaux après les élections, l'Élysée nie farouchement", poursuit la journaliste. Dans le cas de Whirlpool, c'est la justice qui a décidé mardi 28 mai du redressement judiciaire du site d'Amiens (Somme). Quant à General Electric, l'entreprise a décidé seule du calendrier.
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