Présidentielle 2022 : Mélenchon ferait une consultation de sa base en cas de duel Macron-Le Pen au second tour
Interrogé sur une éventuelle consigne de vote au second tour, le candidat LFI, troisième homme dans les sondages, a répondu: "310 000 personnes parrainent ma candidature. Donc le soir du premier tour, on leur demandera ce que l'on fait pour le deuxième tour".
Ce qu'il faut savoir
Une consigne sans consultation préalable, "ça ne servirait strictement à rien. Les gens n'en font qu'à leur tête, on le sait tous". Jean-Luc Mélenchon a annoncé, mercredi 30 mars, qu'il ferait une consultation de sa base en cas de duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen au second tour de la présidentielle. Interrogé sur une éventuelle consigne de vote, le candidat LFI, troisième homme dans les sondages, a répondu au quotidien régional Le Télégramme : "310 000 personnes parrainent ma candidature. Donc le soir du premier tour, on leur demandera ce que l'on fait pour le deuxième tour". Et d'ajouter : "Mais ça sera plus facile car j'ai une bonne chance d'y être". Suivez notre direct.
La protocole sanitaire dans les bureaux de vote dévoilé. "Le port du masque et les règles de distanciation physique ne sont pas obligatoires dans les bureaux de vote", a annoncé le ministère de l'Intérieur. Toutefois, il souligne que "le port du masque reste fortement recommandé" pour certaines catégories de personnes.
Conférence de presse sur la polémique McKinsey. Deux semaines après la publication d'un rapport sénatorial fustigeant le recours aux cabinets de conseil durant le quinquennat actuel, la ministre de la Transformation et de la Fonction publique, Amélie de Montchalin, et le ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt, tentent de déminer la polémique McKinsey lors d'une conférence de presse. "Il n'y a rien à cacher", ont-ils répété, dénonçant "des attaques de plus en plus fortes et de plus en plus grossières".
Nicolas Dupont-Aignan "supplie" les Français "d'aller voter". Le président de Debout la France était ce matin l'invité des "Matins présidentiels" de franceinfo. Selon lui, si les électeurs se mobilisent "massivement", "on peut sortir Emmanuel Macron dès le premier tour". "C'est évident que Macron est un danger public pour la France", a-t-il ajouté.
Anne Hidalgo à Nancy. La candidate socialiste a fait un passage éclair, mardi, dans ce fief socialiste de l'Est pour aller "à la rencontre de la réalité des Français". La maire de Paris mise sur le contact alors qu'elle peine dans les sondages, où elle est désormais créditée de 2% des intentions de vote au premier tour. "Malgré les vents contraires, elle garde la tête haute", assure Mathieu Klein, porte-parole de campagne de la candidate PS.