Attaque d'un fourgon pénitentiaire dans l'Eure : "Un choc total pour toute la profession", réagit une ancienne secrétaire générale de la CGT pénitentiaire

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Céline Verzeletti, ancienne secrétaire générale de la CGT pénitentiaire, réagit dans le 19/20 info du mardi 14 mai à l'attaque survenue sur un fourgon pénitentiaire au niveau du péage d'Incarville, dans l'Eure, dans la matinée. Une attaque qui a notamment causé la mort de deux agents.
Attaque d'un fourgon pénitentiaire dans l'Eure : "Un choc total pour toute la profession", réagit une ancienne secrétaire générale de la CGT pénitentiaire Céline Verzeletti, ancienne secrétaire générale de la CGT pénitentiaire, réagit dans le 19/20 info du mardi 14 mai à l'attaque survenue sur un fourgon pénitentiaire au niveau du péage d'Incarville, dans l'Eure, dans la matinée. Une attaque qui a notamment causé la mort de deux agents. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - J. Van Aelst, A. Goutard
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Céline Verzeletti, ancienne secrétaire générale de la CGT pénitentiaire, réagit dans le 19/20 info du mardi 14 mai à l'attaque survenue sur un fourgon pénitentiaire au niveau du péage d'Incarville, dans l'Eure, dans la matinée. Une attaque qui a notamment causé la mort de deux agents.

Dans la matinée du mardi 14 mai, un fourgon pénitentiaire a été attaqué au niveau du péage d'Incarville (Eure). Deux agents ont été tués, et trois autres sont grièvement blessés. Il s'agissait d'un guet-apens pour procéder à l'évasion d'un détenu. "C'est un drame effroyable qui, en tout cas à ma connaissance, ne s'est jamais produit lors d'une extraction", réagit Céline Verzeletti, ancienne secrétaire générale de la CGT pénitentiaire, dans le 19/20 info. "C'est un choc total pour toute la profession", ajoute-t-elle.

Un appel au blocage des établissements pénitentiaires mercredi

Réunis en intersyndicale, les syndicats pénitentiaires ont appelé, en réaction à cette attaque, à une journée de blocage des établissements pénitentiaires mercredi. "Ça sera en même temps un moment de recueil, de soutien et de solidarité, mais aussi un moment où on porte des revendications, où on continue à demander des moyens suffisants pour que ça ne reproduise plus", affirme-t-elle.

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