: Vidéo "Cette violence est inacceptable", dénonce Aurélie Filippetti
La ministre de la Culture et de la Communication s'est rendue dans les locaux de "Libération" après la fusillade.
"C'est la première fois qu'un organe de presse est ainsi frappé". La ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti, s'est rendue, lundi 18 novembre, dans les locaux de Libération après la fusillade qui a grièvement blessé un assistant-photographe.
"C'est aussi un pilier de la société démocratique qui est atteint, a commenté la ministre. Cette violence qui s'exprime est inacceptable. Il faut vraiment que toute la société se mobilise contre cette violence."
"La rédaction est sous le choc. Il n'est pas normal qu'on soit obligé de protéger par des forces de police un organe de presse. La presse devrait pouvoir dans un pays démocratique exercer son métier, ses fonctions essentielles sans se bunkeriser", a regretté la ministre. "Le fonctionnement normal d'une société démocratique, c'est que la presse puisse faire son travail et qu'elle soit respectée, parce qu'elle nous est indispensable", a-t-elle conclu.
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