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Disparition de Maëlys : "On ne peut pas exclure qu'une trace ou un indice soit retrouvés par ces gens très nombreux" souligne la gendarmerie

Selon le commandant de la gendarmerie de la Tour-du-Pin, Jean Pertué, les gendarmes "continuent les recherches activement, dans les étangs et dans les points d'eau" en parallèle de la battue citoyenne organisée samedi.

Article rédigé par franceinfo
Radio France
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Des particuliers participent à la battue citoyenne pour retrouver Maëlys, le 2 septembre 2017, à Pont-de-Beauvoisin (Isère).  (PHILIPPE DESMAZES / AFP)

Alors que plus de 500 personnes participent, selon la gendarmerie, à une battue citoyenne samedi 2 septembre pour aider aux recherches de Maëlys, pour Jean Pertué, le commandant de la gendarmerie de la Tour-du-Pin, cette mobilisation peut être déterminante mais à condition qu'elle soit bien encadrée. "Il y a un facteur chance, on ne peut pas exclure que lors d'une recherche, une trace ou un indice soit retrouvés par ces gens qui sont très nombreux aujourd'hui".

Les gendarmes continuent leurs propres recherches

Jean Pertué a indiqué au micro de France Bleu Isère que "bien entendu, on va bien veiller avec les organisateurs à ce qu'il y ait un protocole dans le cadre d'une découverte, pour que l'on puisse ne pas avoir de pollution d'une quelconque constation, et que nous puissions faire appel à nos spécialistes pour ensuite prendre en compte la situation".

Indépendamment de cette battue citoyenne, les gendarmes continuent leurs propres recherches et se concentrent sur les points d'eau. "Nos différentes unités continuent les recherches activement, dans les étangs et dans les points d'eau. Par contre, nous avons cessé la phase battue et ratissage au sol", a précisé le commandant de gendarmerie Jean Pertué.

Jean Pertué : "On va bien veiller avec les organisateurs à ce qu'il y ait un protocole dans le cadre d'une découverte"

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