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Attentats du 13 novembre : Georges Salines, l'indicible souffrance

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Attentats du 13 novembre : Georges Salines, l'indicible souffrance
Attentats du 13 novembre : Georges Salines, l'indicible souffrance Attentats du 13 novembre : Georges Salines, l'indicible souffrance (France 3)
Article rédigé par franceinfo
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Georges Salines, président de l'association "13 novembre : fraternité et vérité", a perdu sa fille, tuée au Bataclan. Il s'exprime avant la journée de commémoration dimanche.

La journée de dimanche, un an jour pour jour après les attentats du 13 novembre, sera marquée par des commémorations partout en France en hommage aux victimes. "Cette journée doit être celle du souvenir et du recueillement, de l'expression de la solidarité nationale que l'on a souhaité digne et discrète. Que les familles et les victimes soient mises en avant et qu'on évite toute forme de récupération politique", explique Georges Salines, président de l'association "13 novembre : fraternité et vérité", qui a perdu sa fille de 28 ans, tuée au Bataclan.

Des bougies en hommage aux victimes

"Nous appelons les Français à exprimer leur solidarité en plaçant dimanche soir une bougie à leur fenêtre", ajoute Georges Salines, auteur d'un livre. "Dans les jours qui ont suivi le 13 novembre, beaucoup de messages que je recevais disaient qu'il n'y a pas de mot, que c'est indicible. Moi, j'avais beaucoup de mots en tête", souligne-t-il à propos de son ouvrage, qui rassemble ses pensées sous la forme d'un alphabet.

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