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Tombé dans le coma après son interpellation jeudi, l'homme est décédé vendredi après-midi.

L'autopsie de cet homme de 25 ans a révélé samedi qu'il était mort d'un infarctus. Une expertise toxicologique doit encore être effectuée.
Article rédigé par France2.fr avec agences
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L'autopsie de cet homme de 25 ans a révélé samedi qu'il était mort d'un infarctus. Une expertise toxicologique doit encore être effectuée.

L"homme avait été interpellé à la gare du RER E Haussmann-Saint-Lazare jeudi. La police des polices a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances du drame. Sept personnes ont déjà été entendues.

Un agent de la Surveillance générale de la SNCF (Suge), ayant participé à l'interpellation, avait été placé en garde à vue jeudi soir. Selon Le Parisien, les six autres personnes entendues sont deux policiers de la Brigade des réseaux ferrés (BRF), deux agents de la société de sécurité privée Securitas et deux employés de la SNCF. Mais ces mesures de garde à vue ont toutes été levées vendredi soir, rien dans les auditions ne permettant aux enquêteurs de conclure à un usage excessif de la force lors de l'interpellation, a-t-on précisé de source judiciaire.

Selon les premiers éléments, jeudi peu avant 7h du matin, un usager du RER ans avait actionné une borne d'appel d'urgence, alors qu'un homme se montrait "agressif avec les autres usagers", avait expliqué vendredi une source proche du dossier.

Trois contrôleurs de la SNCF s'étaient rendus sur place et un agent de la Suge, venant de quitter son service, avait aperçu la scène et décidé de les rejoindre. "Afin de maîtriser l'individu, qui se montrait assez virulent, l'agent a alors frappé l'usager de deux coups de matraque télescopique aux jambes", selon cette source.

Trois policiers de la BRF, appelés en renfort, étaient arrivés sur place quelques instants après et "c'est au moment de lui passer les menottes que l'homme s'est évanoui". L'usager, connu des services de police, avait été transporté dans un hôpital parisien.

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