Arrivée de la flamme olympique à Marseille : "Les Jeux arrivent et rentrent dans la vie des Français", se réjouit Emmanuel Macron

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L'attente touche à sa fin mercredi 8 mai à Marseille (Bouches-du-Rhône), où la flamme olympique est arrivée à bord du Belem. Invité spécial du 20 Heures, le président réagit à l'arrivée de la flamme en France.
Arrivée de la flamme olympique à Marseille : "La flamme arrive, les Jeux arrivent", se rejouit Emmanuel Macron L'attente touche à sa fin mercredi 8 mai à Marseille (Bouches-du-Rhône), où la flamme olympique est arrivée à bord du Belem. Invité spécial du 20 Heures, le président réagit à l'arrivée de la flamme en France. (France 2)
Article rédigé par France 2 - G. Naboulet
France Télévisions
L'attente touche à sa fin mercredi 8 mai à Marseille, dans les Bouches-du-Rhône, où la flamme olympique est arrivée à bord du Belem. Invité spécial du 20 Heures, le président réagit à l'arrivée de la flamme en France.

Portée par le nageur Florent Manaudou et l'athlète handisport Nantenin Keïta, la torche olympique est arrivée sur le territoire français mercredi 8 mai. Sur le Vieux-Port de Marseille (Bouches-du-Rhône), le rappeur marseillais Jul a ensuite allumé la vasque sous les yeux de milliers de Français et du président. En direct pour le 20 Heures, Emmanuel Macron a livré une première réaction. "Je suis là parmi les Marseillais et les Marseillaises et les Français et les Françaises. La flamme est sur le sol français, c'est la fin de plusieurs années de préparations", assure le président. "La flamme arrive, les Jeux arrivent et rentrent dans la vie des Français", s'enthousiasme-t-il.   

Sept ans de préparation

Comme le rappelle le chef de l'État, la flamme traversera plus de 400 villes en France jusqu'à la cérémonie d'ouverture à Paris le 26 juillet prochain. "Ce seront les jeux les plus décentralisés de notre histoire", souligne Emmanuel Macron, "on peut être fier". Selon lui, il n'y a pas eu de véritable rejet de l'organisation des Jeux en France, mais plutôt du "doute". "Il y a toujours une France qui doute", et une autre qui serait "impatiente", nuance-t-il, évoquant un "enthousiasme populaire".  

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